Chronique aux Diables Rouges - samedi 31 janvier et dimanche 1er février : 2nd Grand Paris Seine Ouest 2015 Palais des sports Robert Charpentier Issy les Moulineaux
samedi 31 janvier et dimanche 1er février : 2nd Grand Paris Seine Ouest 2015 Palais des sports Robert Charpentier Issy les Moulineaux
Bel équipement bien chauffé.
Musique-soupe en permanence, on ne comprend pas le speaker, un peu mieux la speakerine.
Annonces en français et anglais.
3 tapis de lutte : A, B, C
Deux journées pour les trois types de lutte : gréco-romaine (GR), libre (FS) et féminine
Chaque journée passent 4 catégories de poids dans chaque lutte
Beaucoup de jeunes filles voilées aux ongles et joues peintes aux couleurs du drapeau iranien, des jeunes garçons, des femmes et des hommes. Ils chantent l’hymne iranien, agitent des drapeaux, scandent le nom du lutteur, scandent : « Iran ».
Les autres supporters les plus actifs sont les azerbaidjanais.
Nous tachons de comprendre les règles. Les combats durent 6 minutes : deux rounds de 3 minutes coupés par une pause de 30 secondes. Le premier qui a gagné 10 points a gagné. Si un combattant est plaqué les deux épaules au sol plus de 1 seconde, le combat est remporté par son adversaire. Les règles sont bien expliquées sur ce site :
http://www-artemis.it-sudparis.eu/~rougon/PLO/page-builder.php?sid=21&pid=21
et une explication des trois styles de lutte :
http://www-artemis.it-sudparis.eu/~rougon/PLO/page-builder.php?sid=20&pid=20
La FILA est la Fédération Internationales des Luttes Associées
Le mot anglais pour la lutte est : Wrestling
Vu :
Français : Quentin Millière, Yannick Chauzet, Mélonin Noumonvi (GR), Adama Sow, Pauline Lecarpentier et d’autres…
3 Iraniens
1 Sénégalais : Adama Diata (encouragé par supporters français)
etc
Les entraineurs se tiennent derrière une sorte de « bureau ». Ils jettent une peluche sur le tapis lorsqu’ils contestent un point d’arbitrage : on peut alors recourir à la vidéo.
En Gréco-romaine, le lutteur passif est mis en position de danger à terre : il se met à 4 pattes au centre pour reprendre le combat. L’autre se met derrière lui et le plaque à terre.
durant les breaks, les entraineurs agitent une serviette devant le lutteur, lui secouent les bras en les tenant à l’horizontale par la main, éventuellement lui font craquer le dos (le soulèvent en passant leurs bras sous les siens, lutteur dos contre la poitrine de l’entraineur), ou peut-être plutôt est-ce pour lui détendre le diaphragme et lui permettre de reprendre sa respiration.
22000 personnes dans le monde sont connectées sur ce championnat dont les images sont transmises en direct.
Paris a obtenu que les championnats du monde de lutte aient lieu à Paris en 2017.
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